Proposant aux joueurs d’incarner l’ensemble des PNJ rencontrés afin de former une équipe disparate à même de faire face à toutes les situations via une multitude d’approches, le pamphlet anarchique d’Ubisoft devrait faire sensation en début d’année prochaine. Si il lui reste encore pas mal de petites choses à peaufiner et à nous présenter son multijoueur dont on ne sait quasiment rien si ce n’est qu’il permettra de créer sa propre équipe de 4 joueurs, ce troisième épisode ne semble pas chercher à bousculer la formule établie mais plutôt à l’enrichir de manière conséquente.
Source: Jeuxvideo.com
Comme ses deux prédécesseurs, Watch Dogs Legion plonge le joueur dans un monde ouvert dense, urbain. On se balade avec le plaisir de voir plusieurs quartiers londoniens modélisés (Camden, Westminster…), qui fourmillent de détails et d’ambiances futuristes convaincantes.
Source: Lemonde
Prenez vos lance-roquettes et entrez dans la ville de New Providence en tant que Isaiah Jaxon (Terry Crews) pour détruire l’infrastructure de TerraNova et libérer leur emprise sur la ville. Doublez votre chemin à travers la campagne en solo ou avec un ami, ou entrez dans le nouveau mode compétitif multijoueur, Wrecking Zone, dans lequel presque toute la carte est destructible.
Crackdown 3 Reste néanmoins un jeu de tir en ligne semblable à nul autre, dans lequel le talent ne réside pas dans la visée (puisque verrouillage automatique), mais dans la capacité à fuir les tirs ennemis en jouant avec le décor destructible. Le rythme des combats est plutôt bon et l’on regrettera simplement que si peu d’armes de la campagne solo aient fait le voyage jusque dans ce mode multijoueur, qui se révèle être assez anecdotique, en fin de compte. On est bien loin de la révolution promise il y a quelques années.
Source: Jeuxvidéo.com
Comme ses prédecesseurs, Crackdown 3 vous met dans les beaux uniformes de l’Agence, une organisation de sécurité privée qui a mis toutes ses thunes dans des technologies permettant de créer des soldats augmentés. Les bien nommés « agents » sont donc des super-CRS capables de faire des sauts de dizaines de mètres, de porter des objets lourds (voitures, rochers, l’armoire de grand-maman, une vanne de Yukishiro) et de maîtriser à la perfection un arsenal d’armes diverses et variées. Après une attaque terroriste qui a plongé la totalité du globe dans les ténèbres (littéralement, hein, plus personne n’a d’électricité), l’Agence est mandatée pour aller visiter la petite cité balnéaire de New Providence et y démanteler la méchante organisation Terra Nova, tenue pour responsable des attaques.
Source: Gamekult
Plongez dans le pays fictif de Solis et survolez les 1024 kilomètres carrés de monde ouvert exotique, alors que vous incarnez à nouveau le rôle de Rico Rodriguez pour abattre une armée privée appelée la main noire. Bénéficiant de montagnes enneigées, de forêt tropicale, de désert et d’un nouveau système météorologique, vous pouvez vous attendre à éviter les orages et les tornades ainsi que les balles dans la dernière réalisation des studios Square Enix.
En définitive, Just Cause 4 nous livre exactement ce que l’on peut attendre d’un Just Cause avec ses qualités et ses défauts. Le titre est un pur bac à sable délirant saupoudré d’une dose de n’importe quoi. Rico Rodriguez est plus agile que jamais et le nouveau moteur APEX permet quelques petites merveilles de gameplay. Il en ressort tout de même un sentiment de répétitivité accentué par une tentative sournoise d’agression oculaire. À recommander avec modération.
Source: Warlegend
Il s’agit bien d’un jeu divertissant, qui a au moins le mérite de récompenser la créativité des joueurs par des moments burlesques et imprévisibles. On a tout de même l’impression de voir la licence à la croisée des chemins : il serait sévère de parler d’épisode de trop puisque Just Cause 4 s’avère meilleur que son prédécesseur sur plusieurs points, mais il s’agit clairement d’un épisode routinier. Les ajouts malins au grappin et la fluidité ébouriffante du système de déplacement font que la formule se maintient malgré l’énorme goût de déjà joué qui reste en bouche.
Source: Gamekult
Rejoignez des gangs ou trahissez-les dans la suite de Rockstar de leur épopée western Red Dead Redemption de 2010. Voyagez en Amérique de 1899, où les vols de train étaient la norme, la chasse était une nécessité et les salons étaient votre point ralliement, votre coin de jeu et votre endroit préféré pour assassiner quelqu’un. Découvrez l’incroyable histoire et le réalisme inégalé des plantes et des animaux sur PS4, Xbox One, PC et Google Stadia.
Red Dead Redemption 2 est aussi prenant qu’il sait se montrer frustrant. Beau à en crever, offrant un monde énorme qui réussit le pari d’être vivant, doté d’une écriture aussi forte que son doublage, pourvu d’une mise en scène et d’une narration sans concession, le bébé de Rockstar fait aussi les frais de son intransigeance. Ses combats manquent de difficulté (et donc d’intérêt), ses longues sessions de Ballade à Cheval Simulator ont tendance à provoquer la somnolence, des activités prometteuses peinent à justifier leur présence…
Source: Warlegend
Sa proposition de jeu lent est contre-intuitive, et sa nature de jeu chiant une réalité, sauf quand il se décide enfin à passer à la vitesse supérieure, auquel cas personne ne lui tient tête. Désespérément familier la plupart du temps, débordant d’ambition à chaque instant, il cristallise tous les maux actuels des AAA, avec ses mécaniques usées jusqu’à la moelle et / ou superflues, sans même parler de son absence totale de challenge. Aussi épuisant que brillant, ce grand bluffeur mérite quoi qu’il en soit toute votre attention.
Source: Gamekult
En tant que Lincoln Clay, vous revenez après des années de combat au Vietnam et vous vous installez dans votre maison de New Bordeaux. Vivez la vie tranquille d’un gangster en tuant, poignardant et écrasant vos rivaux pour vous venger des meurtres de votre famille mafieuse. Jamais faire partie d’une famille n’a été aussi authentiquement réalisé que dans Mafia 3. Ensuite, oubliez cette famille et construisez-en une nouvelle avec des armes de qualité militaire et des litres de sang versé.
Le titre est à mon sens sorti trop tôt et aurait largement bénéficié d’une année de développement supplémentaire. L’intelligence artificielle minable – quand une grenade tombe aux pieds des ennemis, ils s’en étonnent mais ne détalent pas tout de suite, sûrement histoire de vérifier que ça va exploser – le caractère redondant du jeu, les multiples incohérences, les textures plastiques et les visages qui le sont tout autant… tout cela a bien du mal à être contrebalancé par une bande originale du tonnerre et un story telling absolument génial, parmi les meilleurs dont j’ai pu faire l’expérience. Mafia III vaut le coup d’être vécu, mais certainement pas à plein tarif. Il en reste un certain goût de reviens-y mêlé à une déception du manque d’aboutissement du titre.
Source: Warlegend
On serait tenté de réduire Mafia III à un excellent Blu-ray où chaque passage de chapitre serait sanctionné par des dizaines de séquences de gameplay réplicables et répliquées. D’un côté, son histoire prend le temps d’installer d’excellents personnages, vous les fait aimer, les torture et donne l’impression jusqu’à l’épilogue d’un vrai jeu d’auteur dopé aux bonnes références. Et de l’autre, sa structure composée à 80% de missions clonées, obligatoires et barbantes, aura très probablement raison de la détermination de beaucoup de joueurs.
Source: Gamekult
Incarnez Marcus Holloway, un jeune et talentueux hacker travaillant avec le célèbre groupe de hackers DedSec. Conduisez, parcourez, combattez, tirez ou explosez à travers la baie de San Francisco pour tenter de réussir le «Hack of the Century» pour éliminer le système de surveillance avancé de la ville, ctOS. Hackez seul ou ensemble pendant que Watch Dogs 2 donne l’opportunité d’un gameplay coopératif ou d’un combat en tête-à-tête.
Watch Dogs 2 a semble-t-il tiré les leçons du passé pour tenter de se réconcilier avec les grincheux qui n’avaient laissé aucune chance à l’épisode originel. Riche sans être rébarbative, drôle sans être maladroite, cette suite soutient la gageure de corriger les errances du premier tout en en approfondissant les forces. Malheureusement, une réalisation encore trop fragile, quelques défauts scénaristiques et des aléas de gameplay privent Watch Dogs 2 d’une rédemption sans condition. Néanmoins, la série semble désormais sur de très bons rails et a sans doute encore de belles lignes de code à écrire.
Source: Gamekult
Plus léger que son aîné par son scénario, son ambiance et ses personnages, Watch Dogs 2 ne l’est pas sur le plan de son contenu ou ses mécanismes, approfondis depuis le premier épisode. La baie de San Francisco est d’ailleurs un terrain de jeu réussi, propice à l’utilisation de nouveaux outils et l’implantation d’un scénario s’appuyant sur les grands noms – parodiés, évidemment – de la Silicon Valley. On regrettera principalement la surpuissance de Marcus au corps-à-corps et un moteur physique rendant, de temps à autre, les collisions à moto ridicules et le parkour imprécis. On pourrait également regretter que l’histoire, plaisante et légère, ne bénéficie pas toujours d’une mise en scène digne de ce nom.
Source: Jeuxvidéo.com
La légendaire série Yakuza de Sega a son sixième opus. Retournez là où tout a commencé avec Yakuza 0, la préquelle de l’original et découvrez le Japon des années 1980. Combattez vos ennemis dans les rues, les ruelles ou partout où vous le souhaitez en vous promenant librement dans Kamurocho et Sotenbori, causant des problèmes à tous ceux avec qui vous interagissez.
Sur PC, Yakuza 0 jouit donc de tous les points forts de la version PS4 du jeu : histoire passionnante, contenu extrêmement riche, grosse durée de vie, bande-son de grande qualité, etc . Et en plus de ça, il bénéficie de tout ce qu’un PC de jeu peut apporter, comme la compatibilité avec les écrans ultra larges, une résolution encore plus élevée (4K avec des effets de lumière encore plus saisissants), une fluidité (60fps) sans faille, etc.
Source: Gameblog
L’histoire, toujours plus folle (et uniquement en japonais sous-titré anglais), n’est finalement qu’un prétexte à plus de bagarre et plus de mini-jeux souvent très réussis et parfois même addictifs, avec une mention spéciale pour le bar à hôtesses. Le considérer comme un simple clone de GTA serait une erreur, car ce (petit) bac à sable pas forcément joli est rempli de bonnes surprises, tel un champ de mines composé de fraises Tagada. Ca fait plaisir, même si parfois ça écoeure.
Source: Gamekult
La série Saints Row a toujours été fermement ancrée dans le réalisme et Saints Row 4 ne fait pas exception, vous donnant la possibilité de jouer à travers l’objectif réaliste d’arrêter le seigneur extraterrestre, Zinyak. Jouez en tant que président des États-Unis tout en vous déplaçant pour sauver le monde avec votre superpuissance nouvellement acquise, telles que la capacité de tirer des projectiles de feu et de glace. Créez le héros le plus laid que vous pouvez avec le créateur de personnage unique de Saints Row et sauvez la Terre seul ou avec des amis.
Les super-pouvoirs (les récupérer puis les améliorer) constituent l’intérêt central du jeu. Mais SRIV s’appuie également sur des missions secondaires pour prolonger l’expérience. Notons la possibilité de jouer en coop en ligne à deux.Ce nouvel opus de Saints Row s’avère donc sacrément étoffé même si on en vient à bout en une vingtaine d’heures (soit beaucoup moins que pour SRIII).Humour déjanté et scénario délirant permettent réellement de se changer les idées dans ce défouloir en mode ouvert.L’ensemble, s’il n’est pas exempt de défauts techniques, s’avère sacrément addictif.
Source: Presse-Citron
En conséquence, nous avons droit à un gameplay loin d’être celui du siècle et des tares techniques indignes de cette génération. Pour se lancer dans l’aventure, il faut donc avoir une certaine envie, une bonne dose d’indulgence et, plus important, ne pas prendre le contenu trop au sérieux.
Source: Gamergen
Le crime ne paie pas, sauf s’il c’est avec des amis dans un jeu de tir coopératif à quatre joueurs. Une fois de plus, enfilez les masques de Hoxton, Wolf, Chains et Dallas pour faire des ravages sur Washington DC dans une virée épique. Construisez des amitiés sur Crime.net tout en organisant ensemble les vols de banques, de voitures blindées et de magasins dans un niveau de difficulté sans cesse croissant de la peine normale à la peine de mort.
PayDay 2, c’est de la bombe. Tel un vrai pro du grand banditisme, vous pouvez préparer vos casses pendant de longues minutes avec vos potes pour la jouer discret et ne jamais vous faire repérer. Vous voilà avec un jeu d’infiltration. Cependant, quand ça foire, vous êtes aux prises avec des assauts des forces spéciales. Vous voilà avec un jeu d’action. En y ajoutant l’aspect aléatoire, les imprévus, la possibilité de se barrer ou de continuer selon votre choix, la diversité des niveaux, les nombreux accessoires ou encore les spécialisations, PayDay 2 a tout ce que l’on demande à un blockbuster… Sauf qu’il est même pas à 30 euros. Sans aucun doute possible, un des jeux multi de l’année.
Source: Jeuxvideo.com
Payday 2 apprend au joueur dès le début que le crime paie, et il paie énormément. Passé une visite de votre planque sous la houlette de Bain, notre ange gardien, on a à peine le temps de récupérer un peu d’argent et son stuff de base avant de se lancer dans l’aventure via un réseau sobrement dénommé Crime.net. Ce dernier affiche les différentes opérations auquel il est possible de prendre part dans cette bonne vieille DC et fait office de matchmaking pour jouer en multi. Étrangement, les différentes missions proposées sont générées aléatoirement et il faudra fouiller un peu pour trouver chaussure à son pied. Cependant l’offre est constamment renouvelée et l’on finit toujours pas trouver le scénario de ses rêves.
Source: Gamekult
Plantez-vous dans un Hong Kong contemporain en tant qu’officier de police secret, Wei Shen, alors qu’il infiltre l’organisation Sun On Yee Triad. Bénéficiant d’un système d’arts martiaux inégalé, détruisez vos ennemis au corps à corps dans combat brutaux. Participez à des courses de rue illégales, à des combats de coqs, détendez-vous avec du karaoké ou profitez simplement des rues dans un cadre ouvert. Hong Kong est votre terrain de jeu, jouez à votre façon.
Tout comme lors de sa sortie sur old-gen, Sleeping Dogs est un jeu fort sympathique. Certes, l’IA est à revoir et tous les aspects du gameplay ne sont pas parfaits, mais en dehors de cela, le titre de United Front offre un voyage tout simplement extraordinaire au cœur de l’univers passionnant des triades hongkongaises. Et quand bien même vous ne seriez pas particulièrement attiré par le thème proposé, vous trouveriez là un GTA-like honnête qui, à défaut d’être original, devrait savoir séduire tous les fans du genre.
Source: Jeuxvideo.com
Vrai bon jeu dont on n’attendait pourtant pas grand chose au départ, Sleeping Dogs s’était à l’époque distingué par son choix de ville, ses combats et son ambiance, sans oublier sa version PC joliment troussée sur le plan technique. Quand une Definitive Edition a été annoncée sur les nouvelles consoles, il était naturel d’attendre un portage impeccable permettant à ceux qui n’aiment pas jouer sur ordinateur de profiter du titre sous ses plus beaux atours et avec tous les contenus additionnels débloqués.
Source: Gamekult
Commentaires (0)